Le répertoire

Un répertoire soigneusement, amoureusement élaboré.

30 chansons, 90mn de musique, en une ou deux parties, avec une courbe idéale, quelle que soit l’option. (Nous avons aussi une formule courte 60mn)

Le trombone, que Gainsbourg affectionnait particulièrement, le colore chaleureusement, comme les instrumentaux avec trompette, fidèles au génie de Alain Goraguer, l’arrangeur de Gainsbourg de l’époque.

Les solos de guitare (jazz et fender), les quelques séquences rythmiques réalisées par nos soins, contribuent au voyage dans les sons et les temps de cette décennie musicale particulière, avant que Serge Gainsbourg « ne retourne sa veste » et jusqu’à ce qu’il commence à le faire. Toutefois quoi qu’il fit musicalement …

Pour commencer, deux titres de Gainsbourg Confidentiel (1963). ‘Amour sans Amour’ ouvre le concert.

Voici ‘Angoisse’, un instrumental de la bande originale de l’Eau à la bouche (1959-60) pour deux cuivres, sur une séquence de batterie fidèle à l’original, enregistrée par nos soins.

Suivent deux titres de Gainsbourg à la Une (1959) dont l’incontournable « Poinçonneur« .

Un petit tour dans Serge Gainsbourg n°4 (1962) se propose avec notamment le fameux ‘Requiem pour un twister’ offrant solos de guitare et de trombone.

Nous enchainons alors six titres de Gainsbourg Confidentiel dont l’incontournable « Elaeudanla », intercalant au passage cette ballade satinée ‘Machins Choses’ issue de Gainsbourg Percussions (1964) où revient le trombone

Arrivent ces trois pépites : ‘Baudelaire’ ‘L’eau à la bouche’ et ‘La Javanaise’. Solos de guitare, thème trombone, couleurs.

Avant ‘Black Trombone’ (chantée par Thierry Bouyer) nous présentons un autre instrumental de la BO du film l’Eau à la Bouche : ‘Black March’.

Jean-Charles Patrier chante alors ‘Les Cigarillos’ le trombone étant également omniprésent dans cette chanson.

D’une bossa à l’autre, voici ‘Ces petits riens’ (Gainsbourg Percusions-1964), une des chansons préférées de Gainsbourg.

Arrive maintenant une séquence dans les profondeurs de ‘La chanson de Prévert’, ‘Les goémons’, ‘Le boomerang’

L’équipage peut alors annoncer la descente, qui est en fait une montée, avec six chansons plus pop de la fin des sixties, à commencer par ‘L’anamour’, en passant par ‘Les sucettes’ ou ‘Elisa’, pour finir avec ‘Couleur café’ .

Un bis étant une surprise, elle se doit d’être bonne!

Le public en redemande chaque fois.

Un bonheur mutuel.

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